Temps : 2ième année de Gwen
Personnes impliquées : Vlathéo & Jasson
Endroit : Dans les couloirs de l'école
Commentaires :

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Gwenaël venait de finir un cours d'enchantement. Deux amies et elle sortirent de la classe.

- Tu as reçu ce pendentif d'un inconnu ?

Gwen rougit puis sourit.

- Oui.. Je l'ai reçu ce matin. Ce pendentif est arriver avec une rose et un jolie message.
- Ooooh ! Laisse moi voir !!!, lui dit vivement son amie.

Gwen laissa son amie lire la lettre. Cela n'était pas la première fois qu'elle recevait des petit cadeau d'inconnu. Était-ce le même inconnu ou plusieurs inconnus ? Cela elle ne savait pas.

Vlathéo avait congé aujourd'hui. Habituellement, il n'avait qu'un seul cours (botanique) mais le professeur avait eut des problèmes avec les plantes carnivores (Une rumeur disait que deux élèves avaient disparus). Il avait prit cette journée pour terminer un devoir d'enchantement et il voulait consulter la professeure pour être sur qu'il avait bien rédiger son texte. Il savait qu'elle terminait son cours vers 15h, alors il attendit que les élèves de sa classe sortent pour aller la voir. Il s'était accoté sur un mur et se faisait discret, attendant que les retardataires sortent, et c'est là qu'il entendit Gwenaël. Il avait tout de suite reconnu sa voix, mais en l'entendant, contrairement à beaucoup, il essaya de trouver un endroit pour se cacher. Mais dans un couloir, il n'y a pas grand cachette. Il essaya alors discrètement d'entrer dans la classe dont elle venait de sortir.

Gwen vit du coin de l'oeil, Vlathéo. Elle dit à ses amies qu'elle avait oublier quelque chose dans la classe mais qu'elle allait les rejoindre plus tard dans la journée. Gwen revint vers la classe et attendit dans un coin que Vlathéo ressorte de la classe. Elle resta dans la noirceur pour être sur qu'il ne le voit pas.

Vlathéo réussi à entrer dans la salle de classe et se dirigea directement vers la professeure. Il lui posa alors les questions qu'il se demandait. Confirma son devoir, la remercia et sorti de la classe. Cet entretiens l'avait rassuré. Il rangea son parchemin dans son sac en marchant droit devant lui, sans se rendre compte que le couloir n'était pas désert comme il l'espérait.